L’orage gronde emporté par ce vent sifflant
La faim où s’endure l’abondante multitude
Bâtir des barricades pourquoi pas
Chez d’autres le refuge va de soi
Qui sors son nez pour sentir les gouttes ?
Car de la pluie, se gorge l’éclaircie à venir.
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Ecrit le 11 novembre 2017 – Photo : Lorenzo Groppo
Je suis celui qui veille
j’entretiens la flamme
le feu qui couve beau
pas de vent pour l’éteindre
il est fragile et fort
il tient le coup heureux
nous sommes tenus par l’âme
c’est au-delà des forces
et c’est ça la force de la vie
la vie de l’amour
l’amour de la vie
Je suis celui qui veille…
Merci à toi…